vendredi 30 juin 2017

BENIN : AFFAIRE ICC-SERVICES : LES ACCUSES NIENT LES FAITS.




Tous les inculpés ont nié les chefs d’accusation aujourd’hui à la Cour d’assise de Cotonou. L’audience relative à l’affaire ICC-services a repris ce jeudi 29 juin 2017 après sa suspension le mardi 27 juin 2017 par la présidente de la cour, Célestine BAKPE.

A l’ouverture de l’audience, les accusés ont défilé devant la barre de la cour. Aucun des accusés n’a reconnu les faits mis à sa charge. Les accusés comparaissent pour association de malfaiteurs, escroquerie avec appel au public, exercice illégal des activités bancaires et de micro-finance, corruption.
Dans le rang des accusés on retrouve l’initiateur Guy AKPLOGAN, ses associés et plusieurs collaborateurs.

Qu’est-ce que l’affaire ICC-services ?
Après avoir été interdit d’activités en Côte d’ivoire pour exercice illégal de sa structure ICI Com, Guy Athanase Sètondji AKPLOGAN avait créé courant 2006, au Bénin, la structure E-Business qui est devenue une ONG dénommée Investment Consultancy and Computering Services (ICC services). C’est une structure de placement illégal d’argent ayant pour activités l’épargne, la tontine et les placements de fonds générant des taux d’intérêts variés et attractifs de 160% l’an ou plus pour les déposants.

Précisons que l’audience se poursuivra les jours à venir afin d’éclairer cette affaire dont les victimes attendent toujours d’être fixé. 


                                                                                        Ketsia ZINZINSOUHOU

mardi 27 juin 2017

UN AMOUR EPHEMERE





J’ai senti mon cœur battre très fort quand je l’ai vu. Lui, c’est un merveilleux garçon que j’ai connu à l’école en 2015. On s’est rencontré pendant les journées culturelles. Daniel m’a beaucoup impressionné par des aveux qu’il me fit lorsque nous commencions par nous écrire. Son charme, son intellectualisme, sa simplicité et son amour pour moi me rendit accroc de lui. Suite à mon départ à l’internat, notre relation ne dure.

Fille intelligente, brillante, populaire et aimée j’étais dans ma promotion. C’était le jour de l’oral des examens blancs départementaux. Habillée en tee-shirt rouge short bleu, tête voilée, je m’étais rendue à l’école à 7h. Il sonnait 10h et rien n’avait commencé. Je décidai de me rendre à la cantine, mettre quelque chose dans le ventre en attendant le lancement des épreuves. J’achetai du riz que je mangeai. Je m’apprêtais à quitter la cantine lorsqu’une voix me souffle à l’oreille : j’ai besoin d’un sachet d’eau s'il vous plaît. Sans me retourner, je payai l’eau que je tendis à la personne. Vous vous demandez sûrement pourquoi n’ai-je pas au moins regardé la personne. Simplement parce que j’en avais l’habitude.  Il y avait des jeunes collégiens qui venaient bien souvent me demander de l’argent. Il était tant à présent de regagner le terrain de sport. Les choses se passèrent bien.

Une vacance pas comme les autres.

C’est les journées culturelles. Je me rendis à l’école. A l’entrée des escaliers, je rencontrai un bel homme de taille svelte, d’un mètre soixante-cinq. Il avait de beaux yeux noirs et brillants. Je fus frappée par ses lèvres jolies, fines et magnifiques tel une rose. Il était sensuel et super sexy. Il me saisit par la main. Stupéfaite, je voulu me défendre quand il s’excusa et me rassura. Mon inconnu se présenta : Je suis Daniel DEDEWAVI, élève en Terminale A dans ce collège. Avec une grande sincérité il me dit: Je désire prendre une photo avec toi, s’il te plait. Je restai perplexe pendant un moment. Après une courte réflexion, j’acceptai. Son sourire, son regard me bouleversa. La vue fut prise et il dit : J’aimerais te revoir avant la fin de la soirée. Ce que j’acceptai sans tergiverser. Pourquoi ne prend-il pas mon numéro me demandai-je intérieurement. Je ne le revu plus jusqu’à mon retour chez moi. Il y eut un sentiment inédit qui naquit en moi. C’était la crainte de ne plus jamais le revoir. J’espérais follement son appel. Six jours passèrent et rien.

Une semaine plus tard, un numéro inconnu m’appela. C’était Daniel. Nous discutions et je me rendis compte qu’il m’observait depuis l’école. "Tu es Ketsia ZINZINSOUHOU. Elève en Terminale D. Une belle créature couverte d’une robe kaki qui laisse entrevoir sa forme ovale. Une élève qui passe son après-midi à l’école les mardis et jeudis de la semaine. Elle est sans amis et sereine. Cassoulet, un œuf et deux jus d’ananas est son repas habituel. Pour sa beauté, elle change sa coiffure toutes les trois semaines. Le jour de la composition des épreuves sportives des examens départementaux, quelqu’un lui a demandé de lui payer de l’eau... C’était moi."
J’avoue que j’étais très impressionnée, enthousiasmée par ces aveux. Non, mais c’était fascinant! J’étais vraiment sidérée. Ce genre d’espionnage est vraiment intéressant. A partir de ce jour, nous devînmes amis. Daniel et moi, nous faisions des appels nocturnes, nous nous racontions nos histoires les plus intimes, nous rions aux éclats, nous jouons.

Un jour, Daniel me proposa de sortir avec lui. Depuis le jour où je t’ai vu, ma vie a pris une nouvelle tournure. Je ne peux m’empêcher de penser à toi. Je sens que je t’aime. Veux-tu être ma petite amie ? Non fis-je. Je veux que nous restions amis. Il faut bien se connaitre avant de s’aimer lui répondis-je. Il ne s’opposa pas à ma décision. Nous restions en contact. Rien ne changea.


Qu’a-t-il de plus beau que l’amour ?

Deux mois passèrent après ce jour. Daniel m’appela et me demanda : s'il te plaît Ketsia peux-tu me faire le plaisir de m’accorder une promenade ce week-end?  Je lui répondis, ok. J’étais tout excitée à l’idée de le voir. C’est le week-end. Chemise bleue ciel, culotte noire, sandale noir, Daniel vint me chercher chez moi. Lorsque je l’aperçus, waooo trop sexy! Dis-je d’un air taquin. Je te renvois le compliment dit-il. J’étais vêtue d’une petite robe noire. Nous voici à la plage où nous discutions. Il avait un sourire magnifique, des yeux si doux et sensibles. Ce n’était pas seulement qu’une attirance physique. C’était aussi intellectuelle. Il aimait la lecture et les mêmes romans que moi… N’est pas formidable tout ça ? Daniel me demanda de lui chanter une chanson. Avec ma voix, j’improvisai une belle mélodie. Je m’aperçus qu’il m’admirait. D’un air étrangement doux mêlé à son joli sourire discret, il me dit : plus je t’entends chanter, plus je me sens heureux d’être avec toi. Je me tus. Je le trouvai plus beau et plus séduisant que jamais. De son regard divin, il me dévorait des yeux. De ses doigts effilés qui semblaient n’avoir jamais rien fait, il me toucha. Je sentis un frisson. Ketsia c’est vrai que tu ne m’aimes pas encore ? Daniel, je n’en suis plus sûr. J’hésitai un peu et dis. Il faut que tu saches que j’ai toujours eu peur de m’engager de peur de souffrir. Et il faut dire que jusque-là j’ai pu résister aux prétendants. Mais… Avec toi je n’y parviens pas. Tout est si différent et exceptionnel…. Ton éloquence, sincérité et simplicité ont fait naître en moi des sentiments inexplicables. Je crois que je t’aime aussi lui murmurai-je. C’est vrai Ketsia ? dit-il. Daniel était débordé de bonheur. Il était émerveillé. Trop mignon, il souriait tel un petit enfant innocent. Daniel me serra contre lui, me fit tendrement un baiser qui créa des ondes qui eurent répercussions sur mon être entier. C’était une sensation subliminale et inédite. Mon amoureux me passa au poignet un bracelet sur lequel était écrit son prénom. La nuit, le bracelet se métamorphosa. Daniel était allongé à côté de moi. Nous parlâmes longuement et je fus éperdument heureuse dans mon sommeil parce qu’il était là, couché sur le même lit que moi et que je sentais son corps contre le mien. Je me réveillai l’âme plein de douceur. Un tendre sourire parcourait tout mon visage. Avec ce bracelet à mon poignet, je sentais sa présence. Il vivait en moi. Mon amour et moi, nous nous voyions assez souvent. Nous restions parfois ensemble sans échanger un seul mot, heureux de nous retrouver.

Mes études, un malheur pour notre relation.

Notre relation était lisse et transparente comme des carreaux placés entre deux rangs de barreaux métalliques. Nous étions heureux. Comme je voudrais que tout ceci soit Eternel! Mais nous ne demeurons pas toujours ainsi : calme, tranquille, paisible et presque sans rides telle une source d’eau. Mes résultats scolaires avaient tout bouleversé. Ah! Je n’aime guère me rappeler cette partie de l’histoire.

En juillet 2015, les résultats ont été proclamés. Daniel eut son baccalauréat mais moi, non. Je l’ai mal vécu. Mes parents décidèrent que je continue mes études à l’internat, au Complexe Scolaire Saint Fabien d’Akassato. Je me rendis chez Daniel pour l’informer de la décision de mes parents. Furieux, il tournait sur lui-même. Larmes aux yeux, il lança : Ils pensent sincèrement que c’est la meilleure solution? Ketsia ce n’est pas juste! Je ne peux supporter ton absence pendant 1 an! Tu seras sans téléphone. Donc je ne pourrai t’entendre, ni t’écrire ni te voir! C’est plus qu’une punition. Tu risques de m’oublier! Tu seras tentée d’aimer quelqu’un d’autre! Pendant quelques minutes, il y eut un silence de cimetière. Daniel s’agenouilla à mes pieds, me souffla d’une voix dépourvue d’énergie : Ketsia, j’ai extrêmement peur de te perdre. Ces mots restèrent à jamais graver dans ma mémoire. Après mon départ de chez lui, rien ne fut plus comme avant. L’atmosphère devint tendue. Daniel devint de plus en plus distant.

C’est la veille de la rentrée. J’appelai Daniel pour le prévenir de mon départ prévu pour le lendemain. Tout ce qu’il me dit d’une voix attristée était, reviens nous avec le BAC. Nous fondîmes en larmes. C’était tel un adieu. J’avais l’impression de l’entendre pour la dernière fois. Avant mon départ, mes parents me pris mon portable et ma carte Sim. Après la composition du BAC, je rentrai chez moi. Bien qu’en étant exténuée par le voyage, sans m’asseoir, juste après avoir salué les parents, je pris mon portable. Je composai le numéro de mon amoureux. Malheureusement pour moi, le numéro n’était plus en service. J’insistai maintes fois sans succès. Le lendemain, je me rendis dans sa maison de location mais il n’y était plus. Je me renseignai et appris qu’il était au Nigéria afin de poursuivre ses études.

Depuis ce jour, des questions sont restées sans réponses dans ma tête. A-t-il perdu son téléphone ? S’est-il remis avec quelqu’un d’autre? Je ne retrouvais  aucune trace de lui ni sur Facebook ni sur whasapp. Etrange n’est-ce pas ?
Son amour était un feu qui brulait en moi. J’ignorais d’où cela venait. J’ai vécu une sacrée aventure avec lui. Mais aujourd’hui, je dois faire table-rase sur mon passé pour aller de l'avant.                                                                                                                                                                         
                                                                                                                                             
                                                                                                                                                                                   
                                                                                         Ketsia ZINZINSOUHOU

lundi 16 janvier 2017

DIXIEME ANNIVERSAIRE DE L’ISMA : PREMIERE EDITION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DE COURT METRAGE DES ECOLES DU CINEMA ET DU COLLOQUE INTERNATIONAL AU BENIN



A l’occasion de la célébration du dixième anniversaire l’Institut Supérieur des Métiers de l’Audiovisuel créé en 2006, un colloque international et un FICMEC (Festival International de Court Métrage des Ecoles du Cinéma) ont été organisé par le Président Fondateur de l’ISMA, Marcelin ZANNOU. L’évènement s’est déroulé du mercredi 11 au samedi 14 Janvier 2017 à Cotonou. Il a réuni 14 écoles venant de 10 pays différents avec 70 films (Ghana 3 films, Niger 3 films, la Belgique 4 films, le Liban 3 films, l’Afrique du Sud 3 films, le Togo 9 films, le Gabon 5 films, le Burkina-Faso 18 films, le bénin 17 films, Maroc 5 Films).

Le colloque international organisé par l’ISMA, dans le cadre de la célébration de son 10ème anniversaire, a eu lieu dans l’auditorium de l’Institut Français de Cotonou. Ce colloque s’est tenu du jeudi 12 au vendredi 13 Janvier 2017, sur le thème : L’Audiovisuel (radio, télévision et cinéma) à l’ère du Numérique en Afrique et les conséquences sociales de la révolution numérique dans les sociétés africaines. Sept pays ont participés au colloque (la France, le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Liban, l’Afrique sud et le Ghana). Le thème de ce colloque a été abordé sous 4 axes.
Le premier axe porte sur le thème : "La radio à l’ère du numérique en Afrique" développé par le professeur Serge Théophile BALIMA, a mis en exergue l’impérieuse nécessité de penser autrement l’outil radiophonique dans notre contexte. Il s’agit de se préparer à la mutation engendré par la convergence c’est-à-dire que la capacité des différentes plateformes a transporté les services essentiellement similaires ou différents. Parmi ces mutations, le conférencier a relevé les conséquences qui en découlent : la coexistence de plusieurs services sur une même fréquence d’émission, les méthodes de production d’une émission qui change le niveau de la radio ce qui nécessite une nouvelle façon de gérer les programmes radiophoniques.
Le deuxième axe a abordé le problème du "cinéma à l’ère du numérique". Il faut retenir de l’intervention du professeur Elie YAZBEK, qu’on doit conjuguer la technologie analogique et celle numérique dans le cinéma pour ne pas totalement mettre de côté la culture Africaine surtout en ce qui concerne la musique de film.
Le troisième axe du colloque a porté sur le journalisme à l’ère du numérique. Cet axe a été animé par le professeur Joseph TONGNE de l’Université de Yaoundé l. Sa communication a porté précisément sur "le journalisme citoyen : menaces et/ou opportunités à l’ère du numérique". Il s’est focalisé sur les possibilités offertes par les plateformes interactions par le Citizen journalisme. Il explique qu’il s’agit d’un système de participation des citoyens au processus de production et de diffusion de l’information. Cela entraine une certaine concurrence entre les journalistes professionnels et les internautes. Il revient de savoir, si ce nouveau contexte constitue une menace ou une opportunité pour les citoyens. Il y voit les atouts suivants : des sources d’informations plus diversifiés, un dialogue permanent avec des internautes et la possibilité d’interactivité. Mais il prévient et soulève des problèmes de déontologie et d’éthique, la non vérification des informations avant la diffusion, ainsi que la remise en cause de la fiabilité des informations diffusées sur les réseaux sociaux.
Le dernier axe du colloque a concerné "les conséquences sociales de la révolution numérique dans les sociétés africaines". Le numérique est avant tout, un écosystème, un environnement dans lequel nous vivons et nous travaillons. Cet écosystème bouleverse toute la société. Les nouveaux médias doivent être un défi pour le journalisme traditionnel. Le journaliste était détenteur du monopole de l’information mais aujourd’hui tout le monde peut devenir producteur et diffuseur de l’information. L’approches des communicatrices s’orientes sur trois points essentiels : la migration de la publicité vers la douane entrainant le bouleversement du modèle économique de l’Etat, les conséquences professionnels avec l’émergence de la provenance entre journaliste citoyen et journaliste professionnelle et pour finir, la décentralisation de la personne d’ébène, avec la tendance au libertinage qui implique les défis sociaux culturels.

Dans la soirée du mercredi 11 Janvier, la salle GBEHANZIN de l’Hôtel Azalaï a abrité les amoureux du septième art dans le cadre de l’ouverture de l’évènement. Cette  cérémonie d’ouverture a consisté à rendre un hommage bien mérité au premier cinéaste du Bénin, Pascal ABIKANLOU. Il est un cinéaste-réalisateur né en 1936. Il a réalisé le premier long métrage béninois, intitulé " Sous le signe du Vodoun" en 1974. C’est un film fiction de 95 minutes. Il a rendu l’âme le 5 Octobre 2009 à Sèmè-Podji. Un film documentaire "Précurseur du cinéma béninois" réalisé par une étudiante de l’ISMA " Doriane ZANNOU " a été projeté.

 La cérémonie de clôture de l’évènement a eu lieu le samedi 14 Janvier 2017 à l’hôtel Azalaï. La délibération des résultats du festival  a été faite au cours de cette cérémonie. Des oscars ont été remis aux festivaliers.
Bilan du festival
Le Festival International de Court Métrage des Ecoles du Cinéma s’est déroulé du mercredi 11 au vendredi 14 Janvier à l’Institut Français de Cotonou. Au Cours de ce festival, 70 films (56 films fiction, 11 films documentaires et un film d’animation) ont été visionné par le jury. Un jury constitué du professeur Elie YAZBEK, madame Christiane CHABI-KAO et du professeur Sié HIEN. Une pré-sélection a été faite par journée.
A la fin de la première journée, 20 film ont été visionnés (16 fictions, 3 documentaires, 1 film d’animation) par le jury. 5 fictions, 2 documentaires et 1 film d’animation ont été retenus.
A la fin de la deuxième journée, 21 films ont été visionnés (16 fictions, 4 documentaire, 1 film d’animation). 10 films ont été présélectionnés : 8 films fictions et deux documentaires.
A la fin de la troisième journée, 29 films ont été visionné (24 films fictions, 4 films documentaires et 1 film d’animation), le jury a présélectionnés 10 œuvres, 9 films fictions et 1 documentaire. Donc sur les 70 films visionnés par le jury, 29 films ont été présélectionnés par le jury. C’est parmi ces 29 films que le jury a attribué les 9 prix.

Les 9 prix décernés aux festivaliers sont entre autres, celui du meilleur image, meilleur son, meilleur montage, meilleur court métrage, meilleur documentaire, meilleur fiction, meilleur public, prix du cour de cœur du jury et le prix Pascal ABIKANLOU. Deux prix parmi les neuf ont été décernés à l’ISMA. Le prix du meilleur montage avec le film "Ménage à trois". Un film de 13 minutes réalisé par Ignace YECHENOU et le prix Pascal ABIKANLOU décerné au réalisateur ABDALAH KADJOUK. Un film fiction de 13 minutes titré " Papa je suis là".

Une allocution a été faite par le représentant du CARA. Dans son discours, il fait part au public du nouveau poste attribué au Colonel Marcelin ZANNOU au cours de cet évènement. Voici quelques phrases illustrant ces propos : « Je saisie cette occasion pour vous informer que cette aventure continuera toujours. A l’occasion du colloque international de Cotonou par l’ISMA, les membres de CARA ont une réunion en vue de marquer cet évènement, une élection a été faite dans les locaux de l’ISMA, le vendredi 13 Janvier 2017. Le Colonel Marcelin ZANNOU a été élu à l’unanimité pour assumer les fonctions de vice-président du CARA CILECT ».
A la fin de la cérémonie de clôture du FICMEC et du colloque international, le PDG de l’ISMA a adressé ses sincères remerciements à tous ceux qui ont participés à l’évènement.
Prochain rendez-vous en 2019.